Quand je me plante, particulièrement sur un projet qui me tient à coeur, quand il y a de vraies conséquences… De prime abord, je n’y comprends rien. J’ai besoin de recul. Et non, je ne suis pas prête à partager!

Dans ces moments, j’ai mal et je me sens seule. Dans le silence et la solitude.

J’ai eu envie d’écrire sur l’échec parce que je trouve qu’on ne traite pas du parcours de l’entrepreneur et du leader avec respect. Mener une organisation à travers les défis humains, technologiques et financiers n’est pas simple.

L’échec réel n’est pas glamour et ne se partage pas. Enfin, pas au début…

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