8 janvier 2019, Port Elizabeth, Afrique du Sud.

Quand on entame un projet important, un travail qui nous tient à cœur qui challenge nos limites, nos capacité personnelles… Les risques sont réels. En affaires, on met en jeu notre survie financière. Comme leader, on met en péril notre survie professionnelle.

Les raisons de s’inquiéter sont toujours nombreuses.
Les raisons d’échauffer les esprits (le sien et celui de nos proches) encore plus.
On sait parfois ce qui nous attend. D’autres fois, on n’en a aucune idée. 

Ce voyage* n’est pas différent.

Les raisons de s’inquiéter sont nombreuses.
Les raisons d’échauffer les esprits (le sien et celui de nos proches) encore plus.
On sait ce qui nous attend. Et à la fois on n’en a aucune idée.

Pas facile.

L’importance de la posture, du mindset. C’est ce que j’appelle la posture du pèlerin, de celui qui cherche la vérité. Aujourd’hui et toute la semaine : avancer avec courage et curiosité… envers moi d’abord puis envers les autres et la nature. Puis, à mon retour dans « notre brousse montréalaise », offrir cet espace à mes entrepreneurs et mes équipes.

Premier séminaire autour du feu : The art of living as a tribe. Ici, l’environnement est moins safe. Chacun est responsable de soi. Chacun est responsable de protéger la tribu.

Cela ne devrait-il pas être toujours la norme ? 

 

 

 

 

 

 

*À propos de mon expédition – Ma présence en Afrique du Sud a lieu dans le cadre de PRECOG, une formation extensive de 18 mois sur le leadership, la communication et la psychologie. Le voyage sert en partie à mettre en pratique les explorations que nous avons faites sur le comportement humain, en partie à nous challenger physiquement et mentalement ainsi qu’à apprendre. Apprendre sur soi, sur la vie d’une tribu nomade, sur la nature… Pour comprendre comment la nature nous a formé les humains. #leprojetpilgrim